Le but de cette seconde partie est de montrer ce que donne Photosculpt sur des exemples concrets, de façon à mettre en évidence les possibilités et limites du logiciel.

Nous avons fait de nombreux essais, en essayant de varier les conditions : appareil réflex et bas de gamme, surfaces planes ou non, grandes surfaces et très petits objets. Les deux pages qui suivent présentent une partie des résultats obtenus.

Ce test avait pour but de tester la robustesse de Photosculpt sur des appareils bas de gamme : les deux photos ont été prises avec un iPhone, appareil qui n’est pas réputé pour la qualité de son optique ou de son capteur…

Au final, Photosculpt s’en sort assez bien : le mur n’est pas plat (bosses sur les bords de l’image), mais en recadrant l’image au sein du logiciel, une portion tout à fait utilisable a été obtenue.

Ci dessous, vous trouverez un aperçu des deux photos employées, puis les différentes étapes sous photosculpt, et enfin la version finale, avec et sans texture.

Sur ce second essai, le matériel utilisé est de meilleure qualité : réflex 450D de chez Canon, Canon 50mm f1.4 pour l’optique.Les photos ont été prises à main levée, en essayant de respecter les règles de prise de vue indiquées sur le site.

Problème, le résultat, lui, ne suit pas : comme le montrent les captures d’écran, de grosses bosses sont apparues sur des surfaces planes.

Les motifs répétés et le sol assez uniforme ont-ils perturbé Photosculpt ? Difficile de connaître la cause exacte. Reste que le modèle final est inexploitable, les différentes options (aplanir globalement le modèle, diminuer le relief) ne permettant pas de rattrapper le problème.