Le dernier Legend of Zelda a été particulièrement bien accueilli par la critique, et a récolté la note maximale sur de nombreux sites spécialisés.
William Audureau du Monde en a profité pour revenir sur la notation dans le secteur du jeu vidéo : la pertinence ou non d’un 20/20, mais aussi celle d’une limitation arbitraire au 19/20 au nom de la supposée impossibilité de la perfection. L’article, parsemé de propos recueillis auprès des médias du secteur, revient aussi sur les dérives du milieu, avec la multiplication des scores parfaits et même des notes dépassant le 20/20, entre surenchère et parodie. Avec le risque, évidemment, de donner le sentiment que ces notes perdent leur sens (en admettant qu’elles en aient un), ou que les médias spécialisés sont à la botte des éditeurs.
Au-delà du cas Zelda, c’est donc à une réflexion sur la façon dont une critique est produite et présentée que nous propose l’article.
